Le paradoxe de la rentrée scolaire
Pas de mensonges entre nous! Quel parent n’a pas compté les jours jusqu’à la rentrée scolaire de septembre ?! Trêve d’humour deux mois, ça peut être long ! Occuper les plus jeunes qui commencent à s’ennuyer dès la moitié du mois de juillet peut être compliqué. Ou encore, donner un but aux adolescents qui traînent toute la journée de leur écran de smartphone jusqu’à la télé…. Et tout cela, en cherchant des modes de garde, en appliquant des systèmes D. Car il est bien connu qu’à part les professeurs, personne n’a la même quantité de vacances que ses enfants !
Pour autant, derrière cette attente de rentrée scolaire, se cachent de nombreuses angoisses pour nos enfants.
- Vont-ils s’intégrer ?
- Seront-ils contents d’avoir ce (ou ces) professeur ?
- Vont-ils se faire des amis ?
- Vont-ils y arriver ?
- (…)
Et surtout, sera-t-on au courant s’ils vivent des difficultés scolaires ou relationnelles ?
Quel que soit l’âge d’un enfant ou d’un adolescent, il peut être difficile de savoir ce qui se passe au sein de l’établissement. Qu’il s’agisse d’un manque de vocabulaire, de la fatigue après une journée d’instruction ou d’une volonté de taire un mal-être, nos jeunes passent sous silence leur quotidien.
Durant les vacances, nous avons un œil sur ce qu’ils font, sur ce qu’ils vivent… Et nous pouvons prendre le temps de communiquer si une angoisse semble apparaître. En effet, nous sommes observateurs de leur journée, nous partageons de jolis moments en famille et nous avons connaissance de la qualité de leurs nuits et de leur repas.
En somme, nous pouvons veiller à satisfaire une partie des besoins fondamentaux (pyramide de Maslow) de nos enfants, à savoir les besoins physiologiques, le besoin de sécurité et le besoin d’appartenance.
Alors, même si la rentrée scolaire est attendu comme le "messie" par bon nombre de parents, le 2 septembre a marqué un point de rupture.
Lâchés dans le grand bain, nos enfants deviennent autonomes, sans notre regard pour les surveiller, les protéger ou les aider à gérer une difficulté qui pourrait advenir sur leur chemin.
Échec scolaire, trouble des apprentissages (DYS…), peur de l’école, angoisse des examens (brevet, BEP, CAP, bac…), ParcourSup, choix des spécialités, choix professionnel et harcèlement… Autrement dit, ce ne sont pas les causes d’angoisses parentales qui manquent. Mais alors, comment faire pour continuer à accompagner nos enfants lorsque nous sommes absents ?
Parent’Up est une application de soutien à la parentalité (dès le projet de naissance jusqu’aux 18 ans de votre enfant) qui vous donne des clés pour gérer une problématique de quotidien.
Ainsi, au moindre doute, vous avez la possibilité d’obtenir un avis expert sur un comportement qui vous questionne chez votre enfant ou une situation qui vous inquiète.